Indexation Décembre 2017 : jeunes taureaux français et étrangers, Louxor toujours leader
Louxor (Isu 229, -1) est toujours en tête du palmarès international, même s’il est désormais ex-aequo avec Kerryhill, prochainement commercialisé par JLD Genetics, et fils allemand de Kerrigan (Kingboy x Numero Uno). A noter que bien qu’ayant un profil équilibré, Kerrigan n’était pas attendu avec un statut de père à taureaux aussi influent. En effet, utilisé essentiellement en Allemagne, il a pourtant 2 fils dans les 5 premiers du palmarès et 6 sur les 50 premiers. Ce n’est pas la 1ère fois que nos voisins nous surprennent ainsi : en août dernier, c’est Battlecry qui avait placé plusieurs fils nés en Allemagne dans le haut du classement (Brilliance, Barkeeper ou Basalt).
KP Carter (Isu 226, +1), fils de Kingpin commercialisé par Gen’France augmente encore son index Repro, maintenant à +3, et il occupe désormais la 3e place du classement.
La suite du classement international voit de nombreux fils de Battlecry et de Kerrigan, d’origine étrangère pour la grande majorité. Profitons-en pour rappeler le caractère incomplet de ce classement officiel, puisqu’il ne comporte pas les jeunes taureaux américains, canadiens ou italiens, qui ne sont pas génotypés en Europe.
Si nous considérons seulement le classement français, Louxor a légèrement accentué son avance sur Multicast (Isu 226, -2), et possède 8 pts d’avance sur le troisième, Nesquick, qui n’est autre qu’un des 3 premiers fils indexés de Louxor. Moins améliorateur que son père dans les taux, celui-ci a, par contre, un index Repro encore plus intéressant à +3,0. Comme la plupart des nouveaux nés début 2017, il ne sera certainement pas disponible dans l’immédiat, compte tenu de son jeune âge.
Comme à chaque sortie, les nouveaux jeunes taureaux sont nombreux dans le haut de la liste. On en dénombre ainsi 14 sur les 31 taureaux à plus de 207 pts d’Isu. Si on se limite à cet échantillon, les origines paternelles sont très variées (seuls 5 pères à taureaux ont plus d’un fils, et seul Jepsilon en a 3), et nous y trouvons quelques pères à taureaux français. Ainsi, Louxor, James Bond, Jinker, Jeiraki et Jetset viennent s’ajouter aux déjà présents Iznogoud et Jepsilon.
Puisque nous parlons de Iznogoud, le père de Louxor, notons que le nombre de filles prises en compte dans son index est passé de 5 à 30 en production (Inel 47, +1) et de 2 à 10 en morphologie sans que ses index n’en soient affectés (Isu 189, +2). S’il ne devrait pas y avoir de surprise en avril prochain, nous surveillerons cependant la stabilité du poste membres, compte tenu de son pedigree.
Dans cette top liste, il est important de citer quelques nouveaux jeunes taureaux qui seront disponibles suite à cette indexation, à l’exemple des fils de Anamur, petit-fils de Epic Gener par son père Anton. Les index fonctionnels, ainsi que les postes mamelle et membres, seront les points forts de Marathon (Isu 213, Evolution), Manava (Isu 213, Gènes Diffusion), Member (Isu 204, Evolution) et Manamur (Isu 197, Gènes Diffusion). Par ailleurs, le meilleur des fils français de Battlecry s’appelle Matt RF (Isu 210) et sera bientôt commercialisé par Gènes Diffusion. En plus d’apporter le facteur rouge, il excelle en mamelle et santé mamelle.
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