Vendée : visite organisée à l’Earl de la Bouge

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Le jeudi 13 juin dernier avait lieu la visite d’élevage de Vendée Prm’Holstein. Cette année, c’est vers la Loire-Atlantique que s’est dirigé le voyage, et plus précisément vers l’Earl de La Bouge de la famille Schuttert. Près de 45 personnes se sont déplacées, preuve du bon choix de la visite.

 

Outre le fait de voir SISSI, Grande Championne de Paris en 2012, il y avait aussi un intérêt pour la culture de l’herbe et son utilisation dans la ration des vaches laitières. En 15 ans d’intervalle, date d’une première visite, les techniques d’ensilage d’herbe et de valorisation de celle-ci n’ont pas changé. Petits chantiers pour une valorisation maximum du stade et de la qualité, pâturage précoce des parcelles, autant de pratiques différentes de ce qui se fait en Vendée.

La visite débute par une présentation de l’exploitation et une ballade vers les parcelles réservées pour le pâturage et l’ensilage, la présentation de deux lots de vaches dehors, dont un lot de 5 vaches à plus de 50 000 kg de lait produit.

 

 

Viens ensuite la présentation d’une vingtaine de vaches et génisses présentées au licol. Cette présentation illustre l’objectif de sélection de la famille Schuttert depuis de nombreuses années : “Avoir des belles vaches sans problème, productives et capable de vieillir“.

4 familles de vaches défilent devant les éleveurs : la famille ROELIE, importée des Pays-Bas, la famille Sissi, la famille FIGUE (Upril Lia), dont est originaire la championne des Côtes d’Armor 2013 et la famille TRUI, elle aussi originaire des Pays-Bas et travaillée par Evolution.

J Schuttert au centre en pleine discussion avec ses visiteurs

La visite se termine par la nurserie, ou s’installe une discussion entre les éleveurs vendéens et nos deux hôtes, Jan et Hilde.

Juste avant de partir, est servi un pot de l’amitié.

Un grand merci à la famille Schuttert pour son accueil, sa disponibilité et sa présentation d’animaux.
Merci à Jan et Hilde, et leurs filles Anke et Femke, sans oublier Hessel, encore à l’école.

 

Philippe Le Berre,
Technicien du département